• De la médecine conventionnelle et de ses possibilités

    Il nous faut prendre la mesure du système de santé actuellement mis en place.
    Il porte très bien sont nom, comme les antibiotiques : assurance maladie de la  SS, ce qui nous indique en gros l'époque et les méthodes... Ensuite, à chacun de choisir s'il le souhaite tel ou tel traitement..

    En pratique, le médecin éclairé ne parlera, que dans l'oreille prête à entendre... 
    Cela réduit considérablement les bienfaits qu'il serait susceptible de prodiguer. Seule une petite minorité est consciente de l'état des lieux.

    Par prudence, un bon nombre de médecins choisissent de travailler dans un pays frontalier, 
    Plus tolérants, qui laisse l'initiative au praticien de choisir la thérapeutique, qui lui semble la plus convenable pour son patient.

    D'autre ont moins de chance, qui se font rappeler à l'ordre, 
    Avec pour commencer une interdiction d'exercer de six mois...

    J'ai dernièrement rencontré une femme médecin, venue faire une conférence, concernant une pseudo-maladie, qui guérit en trois jours, lorsque l'on modifie l'alimentation, en supprimant certains additifs industriels.
    Les allopathes droguent les enfants souffrant de ce syndrome, dès l'âge de six ans, comme adultes... Et très souvent, après quelques années de consommation de ritaline, les patients ajoutent, aussi bien les uns que les autres des drogues illicites ( qui ne sont par ailleurs pas plus dangereuses) : j'ai déjà constaté cet état de fait par deux fois.

    Cette femme médecin est venue me remercier à la fin de la conférence. 
    Nous étions entourés d'une quinzaines de personnes intéressées pas nos échanges... 

    "Merci d'avoir enfoncé le clou à plusieurs reprises" a-t-elle dit. Elle ajouta :  "je me méfie tout même : il peut y avoir des RG, je risque toujours d'être dénoncée... Je suis vraiment heureuse des faits sur lesquels, vous avez insisté... Et que je n'ai pas osé dévoiler."

    Un certain nombre de médecin sur sans doute honnêtes mais...
    Agir honnêtement et selon sa conscience... lorsque l'on croit à tout les mensonges enseignés à l'université, n'est pas forcément très bon pour le patient.

    S'il commence à étudier par lui-même, à respecter le premier conseil d'Hypocrate : ne pas nuire...
    Là ça devient compliqué : les médecins, membres du conseil de l'ordre sont surveillés.
    Honnêtement, un médecin bien informé de ce qu'est la santé et la vie, qui souhaite s'attaquer à la cause du mal-être et sans nuire le moins du monde à son patient osera-t-il...

    - déconseiller les vaccinations ?
    - déconseiller les produits chimiques utilisés pour les traitements symptomatiques ?
    - déconseiller le dépistage systématique des cancers du sein, de la prostate ou du côlon, ainsi que les mutilations, irradiations et empoisonnements chimiques, nuisibles et souvent pratiqués sur des personnes en bonne santé ou en voie de guérison naturelle.

    La formation universitaire n'apprend pas aux médecins ce qu'est la santé et ce qu'est la vie.
    Avec une telle formation, que signifie " agir en conscience" ?

    Un médecin qui risque de se faire radier s'il sort des rails dogmatiques,  par cette institution, qui date d'une bien triste époque, ne peut pas prendre soin des ses patients, comme il le devrait.

     

    PS : je ne remets pas ici en causes les technologies d'urgences qui sont d'un tout autre domaine. 
    Je regrette juste qu'en 40 ans, le 15 (samu) en remplaçant le 18 a fait que le SMUR intervient maintenant après 45 mn au lieu de moins de 10 mn en 1980, époque où j'ai tenu des gardes comme chef d'agrès au SMUR de Dreux.

     

    La médecine conventionnelle est-elle une science ?




    Je recopie ici en réponse, un texte d'Alexandre Imbert, (Profession thérapeute, Alternative santé...) auquel j'adhère complètement.

    Ma seule réserve, c'est qu'il faut absolument ajouter un qualificatif après le mot " médecine", afin de bien définir de quoi il est question. ( conventionnelle, dogmatique, matérialiste, occidentale, pasteurisée...) et surtout pas traditionnelle, qui ne concerne que les médecines que nous a transmis la tradition, MTC, Ayurveda, Hypocrate, Paracelse... ! ( il existe un fil concernant la tradition pour les aucuns, qui ne saisissent pas la différence.)


    Citation :

    La médecine est-elle une science ? C'est ce que l'on tente de nous faire croire depuis une cinquantaine d'année mais rien ne permet pourtant de l'affirmer.
    Non la médecine n'est pas une science puisqu'elle ne donne pas lieu à des découvertes scientifiques obtenues à partir de méthodes d'investigations rigoureuses, vérifiables et reproductibles. L'actualité médicale nous le prouve tous les jours : les méthodes sont douteuses, obscures et aléatoires...
    Oh, bien sûr, la médecine s'est dotée d'outils technologiques puissants, mais cela n'en fait pas une science pour autant, sinon la téléphonie et l'internet seraient des sciences. Elle n'est pas non plus capable de diagnostiquer à coup sûr une maladie (malgré des analyses aussi nombreuses qu'imparfaites), ni de soigner toutes les personnes atteintes d'une même pathologie avec un même remède.
    La pharmacie n'est pas non plus une science en tout cas, pas une science exacte. Sinon, les femmes ne mourraient pas d'avoir pris la pilule !
    Vous allez me dire qu'il existe aussi les sciences sociales qui n'ont pas la rigueur des mathématiques. Mais il y a ici aussi une différence fondamentale, c'est qu'une science se définit notamment par une acceptation de la critique et par sa capacité à se réviser elle-même. Une vraie science a pour moteur sa propre remise en cause, ce qui n'est le cas ni de la médecine, ni de la pharmacie... Il faut l'admettre.
    La médecine n'est donc pas une science. Ouf ! Ça c'est fait !
    Il s'agirait plutôt d'un art alors. Mais alors pourquoi réserverait-on cet art aux seuls diplômés de médecine ? Comme si on ne pouvait être artiste peintre qu'à la seule condition d'avoir fait les Beaux-arts. Il y a des impératifs de santé publique me dira-t-on. Ce sont donc les autorités qui définissent qui est artiste et qui ne l'est pas. Un peu comme en Corée du Nord et chez les Talibans, est-ce bien cela que vous voulez dire ?
    Et puis, en matière d'impératifs de santé publique, il ne me semble pas que l'on soit si vigilant que cela... Allez donc faire un tour dans les hôpitaux et tâchez d'en revenir sans avoir attrapé un staphylocoque. Allez aussi espionner les sages qui valident les médicaments et observez les mouvements sur leurs comptes bancaires...,

     

    Pour information :

    1/ Pratiques de Santé est un magazine édité par la société Santé Port-Royal qui traite de médecine non conventionnelle en complémentarité avec les journaux "Quelle Santé", "Plantes & Santé" et "Principes de Santé". Son rédacteur en chef est Alexandre Imbert.

    En 1999, Pratiques de Santé se voit retirer l'aide de la commission paritaire. En septembre 2006, c'est à nouveau le cas, la commission paritaire et l'aide financière qui y est liée est à nouveau supprimée.


    La Commission paritaire des publications et des agences de presse (CPPAP), plus souvent appelée Commission paritaire, est un organisme d'État français chargé de donner un avis pour le bénéfice du régime économique de la presse. 
    La Commission paritaire peut refuser ou retirer un de ses agréments en cas de non-respect des critères réglementaires. Un retrait de l'aide fait passer le taux de TVA de 2,1 % à 19,6 %, ce qui peut constituer une condition économique essentielle à la viabilité d'un titre sur le marché.

    Ainsi, en 1984 La Hulotte, en 2003 la revue Le Virus informatique, en 2006 les revues Nexus, Info traitements, et Pratiques de santé (74 157 abonnés et 78 500 exemplaires pour le n° 82 du 16 septembre 2008) 5, puis en 2009 la revue Grandir Autrement se sont vues retirer leur aide les condamnant pour la plupart à la fermeture. Concernant la revue Nexus, l'aide lui a été retirée en 2006 sous prétexte que la publication « était susceptible, si elle est lue au premier degré, d’inquiéter les esprits les plus fragiles », notamment dans son traitement de la vaccination. Nexus a retrouvé son numéro de CPPAP en 2010, après 4 ans de radiation.

    Pour résumer :
    La Commission paritaire... j'éviterai de marcher dedans: c'est une très grosse commission.

     

    Quand la médecine (conventionnée) persécute les femmes

     

    Je recopie, ici un éditorial de néosanté, avec lequel je suis d'accord. Il me semble intéressant que les femmes donnent leur point de vue...
    Le livre coûte 15 €.

    Citation:
    Quand la médecine (conventionnée) persécute les femmes 
    On savait déjà les médias de masse inféodés à la pensée unique et (auto)censurés quand il s’agit de parler santé. Il nous restait à apprendre que les éditeurs de livres passent également à côté de manuscrits remplis de vérités bonnes à dire, mais sans doute trop critiques envers l’idéologie médicale dominante. Car figurez-vous que le Dr Marc Girard, qui en avait pourtant reçu commande, a du se résoudre à éconduire la maison d’édition française censée produire son nouvel opus et qui lui réclamait des corrections qualifiées par lui de « ridicules ». Il est vrai que le collaborateur récurrent de Néosanté s’est taillé une solide réputation de trublion et d’empêcheur de nuire en rond. Ses deux ouvrages précédents sur la vaccination (« Alertes grippales ») et sur les médocs toxiques (« Médicaments dangereux : à qui la faute ?» ) étaient autant de petites bombes dynamitant le mythe d’une médecine officielle dévouée au bien commun, basée sur les preuves scientifiques et indépendante des puissances d’argent. Il est vrai aussi que son troisième ouvrage , édité donc à compte d’auteur, arbore un titre (« La brutalisation du corps féminin dans la médecine moderne ») qui annonce clairement son contenu polémique et sa couleur subversive.

    Et c’est vrai que le propos de ce bouquin a de quoi secouer le système: Marc Girard y dénonce en effet une médecine trouble et perverse qui, avec la complicité du féminisme, est occupée depuis des décennies à persécuter la femme, à la faire souffrir cruellement et à l’asservir aux obscures obsessions masculines ! Mathématicien de formation, le Dr Girard s’est spécialisé en recherche clinique et en épidémiologie, avec un intérêt tout particulier pour les effets dommageables des traitements médicaux. Mais il pratique également comme psychanalyste et c’est de ce double regard – scientifique et psychologique – qu’il a tiré la réflexion de ce livre politiquement incorrect. Regardez, nous dit-il, le parcours « normal » d’une femme occidentale : dès son adolescence, elle va être prise pour cible en raison de son sexe et soumise à une kyrielle de maltraitances médicales tout au long de sa vie : des vaccins (papillomavirus, rubéole…) aux traitements hormonaux (contraception, ménopause…) en passant par les aides à la procréation, le dépistage intensif (mammotest, frottis..) et la chirurgie mutilante ( hystérectomie..) . Sans oublier, évidemment, l’implacable oppression gynécologique qui se traduit en auscultations impudiques, en accouchements douloureux dans des positions antinaturelles et en interventions périnatales violentes (contractions provoquées, césariennes, épisiotomie, etc )

    Comment en est-on arrivé là ? Et comment les femmes peuvent-elles accepter d’être ainsi brutalisées ? Passant la médicalisation du corps féminin au crible des données scientifiques (en se concentrant sur l’obstétrique, la contraception et la mammographie), Marc Girard montre que cette débauche d’activisme est aussi inutile que nuisible. Puis, il s’interroge en freudien sur les ressorts inconscients de cette obnubilation pour les présumées fragilités du féminin. Travaux d’historiens à l’appui, il repère une continuité millénaire de répulsion médicale envers les femmes, dont les effets, écrit-il, vont brutalement s’aggraver à la fin du XVIème siècle quand la médecine va croiser une autre tradition férocement misogyne, celle du catholicisme. Du coup, c’est à un préjugé féministe majeur qu’il s’attaque frontalement en posant la question qui fâche: en basant leur émancipation sur une médicalisation à outrance (la pilule, notamment) qui s’est constituée dans l’horreur de leur corps, les femmes ne se sont-elles pas contentées de changer d’oppresseurs ? Qu’on soit homme ou femme, il faut lire ce livre démystifiant pour se forger un opinion expurgée des récits enjoliveurs et débarrassée de cette idolâtrie ambiante envers la docte blouse blanche. Néosanté est fier d’accueillir cette œuvre salutaire dans les rayons de sa médiathèque : 15 € seulement (+ frais de port) pour s’ouvrir les yeux !

     

    J'ai entendu, concernant le sujet ci-dessus, la réflexion très juste d'un femme, qui remarquait : "Il n'y a pas que nous... Les homme avec l'examen de prostate, ils sont servis !"

    De mon point de vue l'examen de la prostate, comme le dosage de PSA par ailleurs, est complètement inutile, voire comme tout ce qui porte l'étiquette "dépistage organisé", très dangereux pour la santé.
    Par contre, il ne faut pas laisse s'installer la moindre inflammation ou gêne urinaire...


    Choisir un bon thérapeute,   
    n'a rien de commun avec : remettre sa santé dans les mains d'un docteur "es expert du scalpel", qui transforme un homme en impuissant-incontinent-couches culottes, en moins de temps qu'il lui faut, pour ponctionner une grosse partie de l'argent que nous rackette la SS, pour la virer sur son compte.   

    Cela dit, le monde est parfait, car, tout bien réfléchi : nous sommes encore libre de refuser de nous faire  tripoter par n'importe qui... Même si le n'importe qui à un scalpel à la main et un stéthoscope en guise de cravate !"

     

    Lorsque l'on apprend que dix femmes sur quatorze sont "traitées" mutilées, empoisonnées, irradiées... Pour "guèrir"... de cancers qu'elles n'ont jamais eut.
    Et lorsqu'à une jeune maman, (moins de 40 ans) le "virtuose chirurgical" procède à l'ablation des deux seins, par sécurité... Dans le cas ou l'autre aussi serait "malade"...
    ( je n'invente rien, c'est le témoignage d'une patiente.)

    Je ne témoigne avec le seul espoir d'éveiller une conscience ou deux, parmi la multitude. 
    Si cela permet d'éviter une mutilation et quelques années plus tard une leucémie causée par la chimio, le temps passé à écrire des posts ne sera perdu.

    Et ma fois, 
    Chaque UN fait son choix
    Mais pour un cancer de la prostate
    Ou du sein,
    Vaut mieux suivre les directives d'Hypocrate :
    Ne pas nuire, pour son plus grand bien.
    Mais il est aussi possible de choisir
    Rayons, ablation, chimio sans frais...
    Et... Partir.
    Le monde est parfait.

     

    L'âme hors




    Il m'arrive souvent de répéter que le dogme universitaire, n'enseigne pas un seul instant, au cours des études de médecine, ce qu'est la VIE !Par contre, après avoir écrit sa thèse matérialiste, qui focalise sur un détail de la physiologie humaine, le médecin, devient docteur et, inscrit à l'ordre de ses pairs, il est aussitôt autorisé à décider, qui est vivant et qui est mort.
    Peu importé la réalité. Cela permet, comme je l'ai déjà indiqué par ailleurs, de déclarer mort, ou "mort cérébrale", des personnes toujours vivantes, auxquelles les organes seront prélevés sous anesthésie, pour permettre des échanges standards, sur d'autre corps, délabrés par des empoisonnements multiples.

    Le médecin conventionnel ne sait pas ce qu'est la vie. 
    Il n'a jamais appris non plus, que le corps physique n'est que la partie la plus lourde, des vibrations de l'être Humain, constitué de plusieurs corps imbriqués, à l'image des matriochkas.


    Les Matriochkas sont emboîtées les une dans les autres.

    L'être humain est vivant, tant que l'âme n'a pas quitté son corps.



    Le corps physique n'est que la partie lourde : le noyau du fruit !



    L'âme intègre le corps physique du fœtus, après quelque semaines de grossesse. Elle s'y maintient, tant que le véhicule reste en parfait état de fonctionnement. Mais, un mental matérialisme exacerbé, l'épuise petit à petit. Si en plus de cela, le corps est délabré par les empoisonnements chimiques et les pensées négatives, elle quitte le corps et c'est : " l'âme hors."

    Tant que l'âme n'a pas quitté le corps, la personne est toujours vivante !


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