• Cet entretien présente différents moyens qui nous permettent de vivre en harmonie, calme serein et confiant, au milieu des turbulences et turpitudes extérieures.

    Remarque : J´ai en 2021, époque de cet entretien, utilisé le mot "esprit" de manière inadéquate. Il aurait été beaucoup plus juste d´employer, selon le cas, le mot "âme" ou l´expression "étincelle divine".

    Concernant l´esprit, je propose de consulter à ce sujet, mon article dans le carnet du site Vie, Énergies, Santé, "Concernant l´Esprit et mon expérience depuis l’année 2021" :

    https://sites.google.com/site/vieener


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  • J'ai découvert Jacqueline Bousquet en 2007. 

    Docteur es Sciences, née en 1935, Jacqueline Bousquet à consacré sa vie à la biologie, à la mécanique quantique et à la Kabbale. Ces trois domaines lui offrent donc une approche holistique pour ces recherches. Elle explique d'ailleurs, elle aussi, que toute spécialisation mène à une impasse. Ces travaux, avec ceux d'Émile Pinel, sont de première importance.
    Impressionné par la qualité de ses conférences, je les ai toutes écoutées avec attention. Elles m'ont beaucoup inspiré et j'ai consulté par la suite, son site Art, Science et Tradition (arsitra) avec bonheur.
    Comme Émile Pinel, le mathématicien et Carlo Suarès, le Kabbaliste, auxquels elle se réfère régulièrement, Jacqueline Bousquet nous ouvre la voie vers la compréhension de la Conscience Créatrice Universelle et la Vie. 

    https://youtu.be/G6dJT3RtEio

    Voici l'éloge qu'en a fait Sylvie Simon :

    "Jacqueline Bousquet, docteur ès Sciences, biologiste, chercheur honoraire au CNRS, a quitté notre Terre dans la plus grande sérénité le vendredi 11 janvier 2013. Au moment du grand passage, elle s’est sentie enfin « libre, légère, débarrassée de son corps physique, joyeuse » et – selon ses propres termes – « impatiente même de partir au plus vite », ce qui fut fait !

    Elle était l’une des rares scientifiques à oser penser par elle-même et dire haut et fort ce que bien d’autres murmurent tout bas et, à notre époque de « médiocratie », comme le dénonçait si bien Arthur Kœstler, il faut être un héros pour oser penser « autrement » et remettre en question les dogmes qui nous gouvernent.

    En sa qualité de biologiste, elle avait acquis un savoir qu’elle savait appliquer à ses recherches, mais elle avait un immense avantage sur la plupart de ses collègues : elle possédait également la « connaissance », don rare, ramené d’« ailleurs » lorsqu’elle s’est incarné sur notre Terre. Elle raisonnait beaucoup plus comme une physicienne et avait tiré les conséquences de l’avancée spectaculaire de la physique dans la connaissance du monde. « Les choses sont ce que l’on pense d’elles, aimait-elle à répéter, nous avons toujours le choix. Ou bien nous nous laissons informer par les événements extérieurs, perpétuant ainsi la projection du passé dans l’avenir avec les conséquences évidentes de schémas répétitifs que nous connaissons ; ou alors nous prenons nos distances en reconnaissant que l’autre — quel qu’il soit — n’est jamais qu’un miroir et qu’il nous renvoie à quelque particularité que nous devons corriger en nous. »

    Elle a partagé son expérience avec de nombreux chercheurs scientifiques et suscité maintes vocations de jeunes scientifiques, intéressés par les champs informationnels et la notion d’hologramme qui débouche sur une vision holistique du monde. Pour elle, ce qui doit changer, ce n’est pas seulement l’état actuel de la Planète, mais aussi, et surtout, les conditions qui l’ont amenée dans cet état !

    Depuis un certain nombre d’années, à partir des travaux du mathématicien Émile Pinel, directeur d’études à l’Université de Paris, elle travaillait sur la relativité en biologie et les champs qui seraient emboités comme des poupées russes et nous déterminent au delà de notre moi, conditionné par notre environnement, notre famille, nos associations, notre pays, l’humanité, c’est-à-dire l’inconscient collectif. Selon elle, ces champs de mémoire sont néguentropiques, c’est-à-dire qu’ils accroissent sans arrêt leur information et, dans le noyau, le temps n’existant pas en tant que tel, il détermine les niveaux d’énergie le long de l’axe de l’ADN. Un être ne peut comprendre, donc concevoir, que ce qui est à son niveau vibratoire ou au-dessous, donc égal à la mesure des capacités de son cerveau.

    L’organisme peut être récepteur ou émetteur d’un champ vibratoire informationnel, issu d’un champ unitaire ultime, qui serait constitué de particules tournant en sens inverse. « Ce champ est à notre disposition pour réaliser nos rêves, ou pire, ce que nous redoutons ! »

    Jacqueline Bousquet laisse une œuvre importante, des écrits, des conférences, des livres qui vont tous inspirer une nouvelle génération de scientifiques qui pensent comme elle que « la science dite officielle est un outil et, comme tout outil, elle est susceptible de perfectionnement au cours du temps ; en fait, elle évolue en même temps qu’évoluent les récepteurs cérébraux des individus scientifiques ».

    Bien qu’elle ait quitté notre univers visible, son nom survivra dans la mémoire des hommes grâce à son œuvre, et parmi tous ceux qui l’ont fréquentée personne ne pourra l’oublier, mais il est probable qu’elle était appelée ailleurs afin de continuer son travail d’éveil de la conscience."


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  • Message de Jeshua pour cette fin d’année.
    https://youtu.be/0OPY9VrTzOw

    ±
    Gratitude, Amour et Lumière à Père-Mère, Conscience Créatrice Universelle, à Jeshua et à Meryem.
    Au nom de Père-Mère, de Jeshua et de l'Esprit universel,
    Qu'il en soit ainsi.
    ±

    Amour à Toi Jeshua,
    Ton message éveille l’Esprit,
    Depuis toujours, tu guides l’humanité
    Et nous prépare à notre mission d’Êtres incarnés.

    Amour à Toi, Jeshua,
    Ta Lumière est en nous !
    Qui nous indique le chemin,
    La porte étroite, pour atteindre ton royaume.

    Amour à Toi, Jeshua,
    Tu transmets l’essence de la Force de Tout ce qui est.
    Nous recevons ton souffle de Lumière contagieuse,
    Ton rayonnement d'Amour inconditionnel.

    Amour à Toi, Jeshua,
    Compassion incarnée,
    Tu guides notre choix et l'encourage,
    Tu fortifies notre intention.

    Amour à Toi, Jeshua,
    Donne-nous la force d’offrir notre force sans compter,
    Avec Amour et compassion.
    Renforce encore notre humilité et notre sagesse.
    Qu'il en soit ainsi.


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  • Virginie Lafon - Le changement climatique.

    https://youtu.be/Y2I0LH6aat4

    Cette canalisation permet à tous ceux, prêts à l'entendre de percevoir les tenants et aboutissant du mirage collectif ! Cela me rend très optimiste de constater, que de plus en plus d’Êtres ouvrent la voie. 

    “... Je sais que cela peut être dur de voir les forêts qui brûlent, de voir certaines choses arriver…” (à 12’ 39” de cette canalisation.)

    Les pensées et propos négatifs, les peurs et colères de la multitude, sont bien plus néfastes pour notre système solaire, que les “catastrophes naturelles” ! Nous récoltons ce que nous semons. 

    (J’ai écrit le texte qui suit en 1997.)

     

    Choc en retour.

    Mais où est donc le firmament

    Le bleu merveilleux

    Que reflétaient mes yeux

    D'enfant ?

    Aujourd'hui bruit

    Fumées et poussières

    S'élèvent dans un ciel misère

    Devenu gris.

    Et dans la rue

    Le cheval n'est plus

    Mais gronde l'ouragan

    Egrégore d'esprit méchant

    Chacun le voit le pressent

    La planète évidemment

    Se défend.

     

    Que sont devenues l'eau pure

    Les calanques de Méditerranée

    Les sources claires de nos aînés ?

    Décharges-sépultures

    D'objets abandonnés.

    Sur la mer poisseuse et sale

    La marée noire s'étale

    Mais l'océan courroucé

    Nettoie d'un raz de marée.

    Chacun le voit le pressent

    La planète évidemment

    Se défend.

     

    Que sont devenues

    Les nourritures saines des potagers

    Les fruits savoureux des vieux vergers ?

    Les aucuns ont disparu

    A jamais

    Les autres sont gavés

    D'engrais

    Mais les fleuves débordent

    Rasent digues et récoltes

    L'eau monte et s'étale

    En surface quelques arbres

    Flottent.

    Chacun le voit le pressent

    La planète évidemment

    Se défend.

     

    Qui donc ravage

    Nos forêts

    Les garrigues sauvages

    Les marais ?

    Disparus arbres et fleurs

    Sous le béton des promoteurs

    Mais la terre tremble de colère

    Le feu jaillit des cratères.

    Chacun le voit le pressent

    La planète évidemment

    Se défend.

     

    Les êtres humains

    Prétendus ou soi-disant éclairés

    Ne parlent que progrès

    De l'humanité.

    Expériences suicidaires

    Pollution nucléaire

    Electromagnétique

    Manipulations génétiques....

    Mais viennent des épidémies

    Comme celles qui jadis ont sévi.

    Chacun le voit le pressent

    La planète évidemment

    Se défend.

     


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  • La crainte de l’avenir effondre notre qualité vibratoire.
    Et cette crainte est le fruit de l’illusion.
    Depuis le mois de mars 2020, j’explique qu’il est sage de ne pas se focaliser sur les turbulences et turpitudes extérieures, de rester calme et serein, tourné vers l’intérieur, vers la Lumière, qui est en nous.
    Malgré cela, force est de constater, que nombreux parmi nous, s’inquiètent de l’avenir en ce début d’année 2023, au lieu de vivre l’instant présent dans la joie.

    Aussi, je souhaite leur faire part d’une expérience vécue, il y a maintenant vingt quatre ans, à la suite de quoi, j’ai écrit un poème :
    Le 3 août 1998 à 6 heures, je quitte Marolles pour Vallauris. La grisaille s'émaille de quelques éclaircies au-dessus de la Loire. Puis après Aix en Provence, le périple se termine sous un ciel noir et une pluie battante… La Cadillac Allente glisse à travers le sombre mur d'eau, jusqu'au hameau de Puissanton. Et là, le Soleil était rayonnant !

    Le Soleil éclabousse au-dessus du ciel noir.
    La pluie tombe, l'étang clapote, trouble miroir,
    Qui reflète dans du plomb, d'étranges démons.
    Les Ondines se perdent en lamentations,
    Vautrées dans la mousse, elles gémissent sans gloire
    Mais …
    Le Soleil éclabousse, au-dessus du ciel noir.

    Quel diable pousse, les cœurs obstinés et rebelles
    Dans ce décor ? Les reflets dévastés du ciel
    Déchaînent leur courroux en tourmentes éclatantes
    Et, sous la voûte, meurent des formes tremblantes.
    Mais ...
    Le Soleil éclabousse, au-dessus du ciel noir.

    D'aucuns s'aventurent ruisselant d'obscurité,
    Palabrent et justifient les sanctuaires profanés,
    Renversent les autels, mesurent et jugent sans appel,
    Sans voir le fils d'homme couché sur la verticale.
    Mais …
    Le Soleil éclabousse, au-dessus du ciel noir.

    Le balancier épargne ceux qui contredisent,
    Va et vient, ponctuant le présent éternel.
    Les vivants sont morts et ignorent l'arc-en-ciel.
    L’initié, patient, ne dit rien de leur méprise,
    Car il est sage de savoir :
    Le Soleil éclabousse, au-dessus du ciel noir.
    La pluie tombe, l'étang clapote, trouble miroir...


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